Bonsoir à toutes et à tous,

Raté car ailleurs, hier ? Donc rattrapage aujourd'hui. Bon Anniversaire et un jour, Véro. Trente-deux bises pour (essayer d') assécher tes larmes de ce matin.

N.e.w., faut-il imaginer que ta parole trahit parfois tes arrières-pensées ?

Il t'a donc offert un moment d'intimité. Ou plutôt ce qu'un homme a de plus intime : sa faiblesse. Involontairement, sans retenue. Beau cadeau reçu, N.e.w..

A travers ce rêve érotique, Vyolette, tu fais étalage de tes qualités d'écriture. Déjà étalées hier, d'ailleurs. Blogueuse prometteuse... J'crois que je reviendrai. Bientôt ? Pour ton prochain billet. Quand ?

 Epizut, nouveau blogg de photos, toutes titrées d'un verbe. Je vous signale aussi que Epizut a déjà mis en lien une quarantaine de blogs d'ici, tous rebaptiser d'un verbe. ‘tit voyage pour voir comment elle/il vous « verbalise ».Tim, je t'offre un ‘tit yaourt nature ? Oui ? Quand ?

 Alors CC, t'as été bossée, ce lundi, malgré ces « kilos de merde blanche » ?

 C'est tout pour ce soir. Car, un, j'ai bossé (normal) ! Et deux, heu !, ben, c'est tout...

 Et, ce soir, cette nuit ou demain matin, notre monde virtuel accueillera son quarante millième blog ! Alors, avis aux créatrices/créateurs de bloggs multiples...

Bonne soirée et douce nuit. Et n'oublions pas de nous nourrir... De quoi, au fait ?

Blogguez bien. Et regardons au-delà de BloggLand ...

Dure, dure, la vie !

Mercredi dernier, premier RDV de chantier pour refaire cette fameuse dent qui branle de nouveau, depuis trop de jours. Elle a, quand même, un âge avancée, l'implantée : au moins dix-huit années ! Pressions (physiques), bruits de fraise (dentaire), odeurs de brûlé (il utilise un fer à souder pour cautériser la pointe de son truc pour creuser dans mon crane), bouche sèche (car gueule ouverte pendant une demi-heure), et j'en passe. Et rescellement en fin de séance pour que j'ai un sourire présentable jusqu'à mercredi prochain. Mais, pas de douleur. Ouf ! Et oui, ch'uis douillet ! Comme vous ? Avant de se séparer à c'te heure tardive de la soirée, le v'là qui me dit son doute de la solidité de son ciment. ‘t'façon, j'avais pas prévu de sandwicher à tire-larigot ! J'ai été vacciné le mois dernier.

L'avais raison, mon dentiste. Vendredi, au moment du café d'après déjeuner, paf ! La chienne ! V'là ma dent qui me reste sur la langue. A cette étape-là de la narration, j'endends des voix s'élever pour savoir où se trouve cette fameuse dent dans ma dentition ? Je m'empresse de vous répondre avec précision : c'est la vingt-et-un. Y a pas plus précis, comme réponse. Bon, bref ! De ma bouche, je la crache dans ma mimine devant mes collègues hilares. Pour tenter de leur épargner mon visage édenté, j'essaye, à l'abri des toilettes, de la replacer tant bien que mal. Plutôt difficile à faire. Finalement, la voix charitable d'une collègue veut bien me servir de voix de remplacement (pfff, ces hommes...) pour téléphoner à un dentiste du quartier. Après cinq ou six appels (nous sommes vendredi, en début d'après-midi), un dentiste tout aussi charitable (si je puis dire) trouve quelques minutes, deux heures après la chute de cette partie-là de ma beauté virile ( !), pour me la resceller.

Et, O joie, elle tient toujours, ce lundi à l'heure du thé. Jusqu'à mercredi ?

Bonsoir à toutes et à tous,

Aujourd'hui, N.e.w., tu nous offres de découvrir une  nouvelle corde de ton arc. Pardon, de ton piano. Avec talent. Et en sous-entendus, par discrétion, dis-tu à 12h15. Par pudeur aussi ?

N.e.w., à toute “ affaire sentimentale », tu laisses donc tous tes pétales ? Comment sont-ils, en ce moment ?

Journée anniversaire, aujourd'hui. Celui de ton blog, Angy. Celui des cinquante ans de ta mère, Sensuelle.

Angy, tu reconnais que tu « parlais, il y a près d'un an, de l'importance de mettre de l'amour dans ma baise ». Avec celui avec qui tu as rompu ici publiquement, un beau jour de Juin dernier, faut-il en conclure que ce ne fut que baise, sans amour ? L'un « des tocards pour la plupart » ? A moins qu'il ne fut ce « professeur » ? (j'fais l'innocent, là)

CC, cette semaine, j'en suis encore aux crèpes à la confiture. Humm !! Je salive... Quant à ces beignets-ci (qui me font aussi saliver), ma grand-mère les appelait des aiguillets.

Hein, Tim, t'as un lien avec Volcane ? C'est pas moi qui pose la question mais Sylvain Harrison, l'auteur de la photo de ton billet. (Pas taper, Tim !)

Serait-il trop macho, ton père, Tim, pour être plus proche de toi, de vous ?

Maîtresse, as-tu vu tous les comm. polluants publiés à la suite de ton billet du 06-10-2004 ? Sans le savoir, tu concurrences Meetic, dis donc ?!

Ah, Eva, enfin un billet positif. Ça faisait longtemps que tu n'en avais publié.

Chris, bientôt une inspiration pour BloggLand ?

Lilly, tu ressiscites quand ? Et la suite de tes fantasmes, c'est pour quand ? Caliban et moi les attendons (rire) ! Avec ton parisien, où en es-tu ?

Khalya, accro à la technologie ? Je te croyais accro aux hommes ?

C'tte Bybounne, quelle star !!! Quel égo. J'attends d'autres photos, des milliers d'autres photos... Ton blogg est chiche en photos...

Alizé, ton cœur est beau. Ton cœur respire le bonheur.

Et oui, Maylina, à nous de réchauffer BloggLand, de faire monter sa température.

Lady-b, vous connaissez ? Elle part, quitte « blogg.org » pour la raison qu'elle indique.

Maoz, leSchti serait-il le seul internaute de BloggLand « à se faire passer pour un pakistanais » « par les fautes d'orthographe » ou les expressions et tournures qu'il/elle emploie ici ?

Bonne soirée et douce nuit. Et n'oublions pas de nous nourrir... De quoi, au fait ?

Blogguez bien. Et regardons au-delà de BloggLand ...

a          b            c            d            e            f            g            h            i            j            k            l            m            n            o            p            q            r            s            t            u            v            w            x            y            z

Voilà douze mois, depuis hier, que j'use de l'alphabet ici. En bien, en mal ? Peu importe.

A tire-larigot, pour flatter mon égo ? Oui ? Peut-être ? Certainement ? Oui, bien sûr. Par jeu, avant tout, surtout, et tout et tout... Et je continue.

Sans lui, sans cet alphabet, sans ses vingt-six copines, où serais-je, que ferais-je ?

Elles existent, je les anime, les utilise, en use et en abuse parfois...